Première entrée dans l'école [Libre]

Il fait sombre, il fait froid, et il est tard. L'air cependant est frais, et il n'y a pas l'ombre d'un nuage dans le ciel. Un grand drap bleu foncé brodé d'étoiles s'étend à l'infini au dessus de la tête de la petite lapine. Les yeux enflés à force de pleurer, elle a enfin fini de courir. Ses chaussures sont couvertes de boue, ainsi que le bas de son pantalon. Dans la nuit, seule, la petite Kuuki Saito halete après avoir courut de toutes ses forces pour fuir la prison où elle était. Les rues sont désertes. Après s'être reposée quelques instants, elle se remet à marcher, un gros sac dans les mains qu'elle tient par la sangle. Ce qu'elle recherche ? L'école destinée aux hybrides dont elle a entendu parler : Hybrids' School...
Le temps passe, et elle continue de marcher. Cette ville est donc si grande ? Bientôt, l'aurore arrive, le soleil est prêt à se réveiller, et Kuuki marche toujours. Puis elle s'arrête. C'est ici. Devant une grille noire et des murs en béton, derrière cela se trouve l'école. Par chance, la grille est ouverte. Elle la pousse et pénètre dans la cour de l'établissement. Il doit être aux alentours de sept heures et demi du matin. Kuuki n'a aucune idée de l'heure à laquelle commence les cours, mais ce qui est sûre, c'est que cette école n'est pas déserte.

La cour est grande et spacieuse. La petite usagi regarde, émerveillée, cet endroit. Soudain une voix l'interpelle. En tournant la tête, elle découvre une femme, assez âgée, lunettes classes posées gracieusement sur son nez, un visage fin et assez bronzé, un grain de beauté situé juste à droite de sa lèvre. Les mains levées, la femme lui dit de venir. Kuuki se rend alors devant elle, lui fait une courbette - ce qui fait sourire la belle jeune femme - et pose son sac qui commençait à lui engourdir les bras.

« Bonjour. Que fais-tu là à te balader dans la cour ? Tu es nouvelle ?, Kuuki baisse la tête et donne une réponse positive, Je vois, mais dans ce cas tu ferais mieux de ne pas t'attarder ici. Tu veux t'inscrire j'imagine ?, toujours une réponse positive de la tête, la dame sourit. Dans ce cas suis-moi. »

D'un pas gracieux et sûr, la femme se mit en route vers un petit bâtiment à côté de la grande école. Kuu-chan la suivait sans dire mot, ses bras tremblants à force de tenir son gros sac dans lequel était contenu ses vêtements et ses affaires de l'orphelinat. Arrivée près du bâtiment, Kuuki put y lire une inscription "Accueil". C'était sûrement là qu'on s'inscrivait dans l'école. La jeune humaine se retourna et sourit.

« Je vais aller t'inscrire. Ton nom ? »

Avec un petit moment d'hésitation, Kuuki baissa la tête, les oreilles plaquées contre ses cheveux roses, puis dit timidement :

« Saito... Kuuki... madame. »

La dame sourit une nouvelle fois. Elle était gentille. Et malgré le chuchotis de la petite lapine, elle réussit à entendre et à orthographier de sa belle calligraphie son nom.

« D'accord, Saito-chan. Je vais préparer les formulaires d'inscription, tu peux aller t'assoir dans la salle d'attente. »

Elle pointa du doigt une pièce accueillante, avec des fauteuils individuels qui entouraient une table basse en verre. Derrière, une grande baie vitrée qui donnait sur l'extérieur. Kuuki s'y dirigea d'un pas lent tandis que la femme chercha des papiers et les remplit. La lapine s'assit dans un des fauteuils, soupirant de soulagement, puis tourna la tête pour observer en dehors. Le vent soufflait dans les arbres, et la brise légèrement faisait virevolter les feuilles de ces géants. Un spectacle assez endormant, mais qui faisait oublier à Kuuki l'orphelinat.

[ Je m'incruste, ne me deteste pas Kuuki-chan ;___; ]

Il est certain que comparé à certaines personnes, moi j'ai la belle vie. Et ... Je ne me plaindrai pas. Refléchissez deux secondes; Qui se plaindrait d'être l'être le plus important de cette planète ? Ah ... Vous devez certainement avoir des stéréotypes dans la tête ; Du genre ... Le gosse de riche ... solitaire, sans rêves, sans amis ... Et bien, laissez moi vous dire une bonne chose. Je pense que vous lisez trop de manga. Tout comme il est impossible que je fasse un quelconque sport, il est également impossible que je me plaigne d'être une personne royale et exeptionnelle.
Enfin. Moi, il parait que je suis assez puéril, n'importe quoi. Il est vrai que je m'enerve facilement pour un oui ou pour un non, mais ce n'est pas non plus la peine d'exagerer, je ne remplie que mon rôle de prince.
Me voila quand même en train de me plaindre à l'instant même ou je vous parle cher lecteur. Mais en même tant dans cette situation délicate, difficile de faire autrement.

Je me tiens en ce moment même debout devant une grande bâtisse, la voiture vient de partir et je suis habillé avec des vêtements que j'ai acheté hier, un jeans noir d'une marque très cher que je ne peux citer soutenue par une ceinture, ainsi qu'un T-shirt d'une autre marque très cher. N'oublions pas, jamais deux fois le même vêtements. Dommage que je doive les jeter. Je sais vous allez me dire d'en faire don n'est-ce-pas ? Mais non. Ils n'en sont pas dignes. Quant à mes yeux, aujourd'hui j'ai choisi de me mettre du violet, assortis au forum et à ma personalité extravagante.
Et si l'on parle de mon humeur; ce sera ; ' =_= '. Ce smiley pourrait très bien le resumer. Car cette grande batisse que je fixe avec un air hébété, il s'agit de ma nouvelle école. J'ai changer d'établissement en cours d'année, mon celebre lycée contre ... ce machin on ne peut plus étrange ou il y a des gens cosplayer et des proletaires à perte de vue. Voyez vous. N'est pas, une raison suffisante de me plaindre ? Ils vont faire tâche dans ma vie. Bon ... Prince ... Trouve toi une raison de vivre ici. Dis toi qu'il s'agit ... d'êtres insignifiants dont tu vas pouvoir t'amuser.

Mouais ... je me dirigeais finalement dans l'enceinte du batiment, avec mon sens de l'orientation inné ce ne fut pas si difficile de trouver l'accueil. Et tandis que je franchis la porte d'une posture noble et droite, mon regard se plongea sur la silouhette d'une personne assise. Oh My God. Première rencontre et déjà je tombais nez à nez avec une cosplayeuse. Un lapin ce coup ci. Une bunny ? Laissez moi essayer de deviner son passé ... Miss Bunny travaillais dans un bar d'hôte à Bunny. De pire en pire ... Tandis que je laissais mon esprit divaguer en essayant d'aligner des pensées plus cohérentes, je sentis comme si ... j'étais en train de faire une erreur. Rester dans une pièce polluée. A la regardée en plus elle semblait non seulement être une cosplayeuse mais en plus une proletaire. Quoi de mieux pour m'inssuporter ? Demain on va me sortir qu'elle fait du sport et qu'elle s'habille en vert. La se sera le pire.

- Toi ...

Une posture d'autant plus droite, que mon regard est superieur. Un ... Prince. Dans toute sa splendeur. Qu'est ce que je peux m'aimer !

- Je suppose que tu travailles ici en temps que barmaid ? Ou ... Tu dois être le porteur de bagage, ça me soulagerait vraiment que tu les portes en m'indiquant l'endroit ou je pourrais terminer mon iscription. Soit honnorée et sourie alors que je te fais cet honneur.

Ne me souciant d'elle que très peu, je lachais ces multiples sacs que j'avais du moi même porter. Blsapheme. Le jour ou un Prince doit porter ces bagages, on aura tout vu. Portant mon regard sur d'autre coin de la piece pour examiner tout les défauts, j'attendais. Car c'était une évidence même que miss Otaku allait faire ce que ma royale personne lui indiquait, après tout, je suis un Prince.

Les feuilles des arbres continuaient d'être secouées par le vent. Kuuki soupira, fermant les yeux. Dans la pièce, il n'y avait que le bruit de la femme qui écrivait sur divers papiers. Les oreilles de la lapine purent entendre le froissement des feuilles et les murmures de la dame qui se tenait derrière le bureau. Celle-ci quitta son siège pour revenir auprès de la nouvelle venue, souriant toujours aussi agréablement. Kuuki rouvrit les yeux et tourna la tête pour la regarder.

« J'ai bientôt fini. Patiente encore quelques secondes, je vais voir dans quelle classe te mettre et je vais choisir ton dortoir. Ça ne sera pas trop long, reste ici en attendant. »

Cette fois-ci, la petite lapine ne répondit pas, regardant la femme s'éloigner avec encore une grâce indéchiffrable. Elle partit dans la pièce de derrière, et l'entre-ouverture de la porte avait laissé apercevoir à Kuuki une montagne de cartons, de papiers et divers outils entassés dans de pauvres petites étagèrent bien trop étroites pour tout contenir. La porte claqua.

Seule dans la petite pièce qui devait servir d'accueil pour les inscriptions, Kuuki attendait sans rien dire. Elle se pencha de nouveau vers la fenêtre, posant ses mains sur le vitrail et observa la cour de dehors. Alors ça y est. Elle était maintenant dans sa nouvelle école. Et elle n'était plus la seule hybride, ce qui était plutôt rassurant. Perdue dans ses pensées, elle n'entendit pas que quelqu'un d'autre était rentré, et qu'en plus, cette personne l'appelait. Ce n'est que quand elle se rapprocha d'elle que Kuu-chan fit un bond, se plaquant dans le fauteuil où elle était assise en écarquillant les yeux. C'était un garçon - un très beau garçon même - qui commençait à déballer des théories comme quoi elle était serveuse maid dans un café. Kuuki ne savait quoi répondre, le regardant bizarrement, à la fois troublée et apeurée. Il parla ensuite de porter ses bagages. Non mais, c'était qui lui ? On est dans une école, pas un hôtel. Être honorée et sourire ? Il était gonflé de dire ça. Cependant Kuuki n'était pas le genre à se plaindre et à insulter les gens. Paralysée, la petite lapine ne dit rien, commençant à trembler. C'est alors que la femme disparue derrière la porte quelques minutes plus tôt fit son apparition.

« Voilà, c'est termi... Oh ? Tiens, bonjour, excusez-moi je ne vous avez pas vu. Vous êtes... ? »

La lapine tourna la tête pour regarder la femme puis regarda ensuite le jeune garçon. Baissant la tête, les oreilles plaquées sur sa tête, elle serra ses mains sur ses jambes en tremblant.

« Je ne suis... pas... une maid... »

Sa voix était à peine audible et tremblante, comme si elle était prête à pleurer. Elle n'osa pas défier du regard le garçon, fixant ses chaussures couvertes de boue sans bouger d'un pouce.

Je suis du genre à me lasser rapidement, et puis l'atmophère de cette pièce ne me plaisait pas. C'est une histoire de courant, si ça ne passe pas mieux vaut laisser tomber, de toute façon rester dans cette salle, qui se trouve être de taille réduite en comparaison de mon chez moi était trop oppressant. Mais bon, j'attendais encore que miss Bunny se lève portant mes bagages et me conduisant là ou je lui avais demandé.
Et bien il faut croire que la capacité à réfléchir rapidement chez les cosplayeurs est assez limitée étant donnée que cette lapine était encore la sur son siège a attendre. Attendre quoi ? Rapidité & Efficacité bon sang !

« Voilà, c'est termi... Oh ? Tiens, bonjour, excusez-moi je ne vous avez pas vu. Vous êtes... ? »

Là je reste sceptique. D'un coté c'est rapide et efficace, la dame aux inscriptions se trouvait là, juste devant moi. Mais d'un autre ... ' Vous êtes ' ~ Comment ça ' je suis ' ? et puis elle dit qu'elle ne m'a pas vue? : elle dit qu'elle ne m'a pas vue !!! Quoi elle a vue la cosplayeuse ? Mai pas ma royale personne ? Ca doit juste être un gag de cette école d'Otaku. Cependant dans un certain sens je me sentais quand même assez offensé. Même dans mon ex-lycée tout le monde me reconnaissait, que ce soit de ma secretaire à la femme de menage en passant par les kouhai. M'enfin, comme je suis un prince, mon peuple attends de moi devoir et responsabilité de ce fait je vais rester calme face à cette situation tordue. Faisant face à la dame, sans même me préoccuper de la différence d'âge, je croisais simplement mes bras, avec un regard on ne peut plus superieur.

- Comment ça vous ne me reconnaissez pas ? Je vous prierais de vous souvenir du visage d'un étudiant récemment transféré ici. Surtout quand cet étudiant s'apelle Prince Kyoran ' Ashford ' et qu'il a l'extrême gentillesse de faire partie de votre école. J'aurai très bien pu rester dans mon autre lycée... M'enfin bon, j'ai tout remplis la fin des dossiers comme convenu.

Je parlais en mode monologue, comme si j'étais une personne tout à fait exceptionnelle qui integrait leur etablissement par bonté. Peut-être parce que c'est la vérité ? La réponse d'une simple employée ne m'interresse pas, je m'étais déjà concentrée sur Usagi-chan. Elle m'avait parlée après tout mais ... Avouez. Ce n'est pas très polie. Regarder ailleurs ... Quoi que, je dois juste avoir une prestence exeptionnelle et me defier, n'etait pas une bonne idée à la manière dont je m'enflammais.

- Ah ...? Qu'est ce que tu fais dans ce déguisement alo...

Il se trouve qu'une mélodie m'avertissait d'un danger sans limite. Je réussis à distinguer les quelques mots ' souris verte '. Rien de tel pour me saper le moral. Vert. Une couleur ignoble. La couleur qui ne devrait pas exister, elle est une telle injure à la vie ! Qui est-ce ? Qui ose me defier ainsi ? Et ... Qu'est ce que je disais. Un danger. J'étais. Par terre. Sur le sol. Mes sacs bousculés. Une cosplayeuse Neko affalée.
Nous aurions été dans un manga, un nerf se serait déjà dessiné sur ma tempe. Mais la un foudroyement du regard suffisait. Je me depechais de me relever, dépoussierant mes vêtements, relevant mes sacs. ( Je suis maniaque des fois ... ). Et puis je l'observais. Le paradis des cosplay. Dommage, je ne suis pas un Otaku moi.

- Oups, désolé, pas fait expres ^^"

- Tu crois peut-être t'en sortir avec de simples excuses paysanne ? Après m'avoir grossierement bousculée ... Ah ... On me le dit souvent, ' Prince Kyoran, vous êtes si bon '. Oui je sais ... Et bien dans cet excès de générosité je te laisserais t'en sortir après simplement t'avoir vu te prosterner à mes pieds. Profite - en, tu es dans la position parfaite.

Devant le spectacle qui se donnait devant elle, Kuuki resta bouche bée. Ce garçon... Il était vraiment un prince ? Il se prenait comme tel apparemment. Après avoir répondu à la dame d'un air assez offensé - sans doute parce qu'elle ne l 'avait pas reconnu -, il se tourna de nouveau vers Kuuki qui avait relevé la tête. Son visage n'exprimait rien, ni angoisse, ni peur, ni aucun autre signe d'animosité. durant son petit manège, il avait prononcé son nom. Kuuki l'avait remarqué et enregistré : Kyoran Ashford. Il valait mieux s'en souvenir, au cas où ce "prince" se remette dans tous ses états. Après son petit discours, il reprit la parole, ne laissant même pas le temps à la secrétaire de répondre, hébétée et un peu perdue. En s'adressant à Kuu-chan, il se prépara à lui demander ce qu'elle faisait dans cette tenue, mais sa phrase n'eut pas le temps de se terminer qu'il se fit bousculer.

Écarquillant les yeux et faisant un petit bond sur le fauteuil, Kuuki ouvrit pleinement les yeux. Une autre hybride. Un chat, cette fois, qui venait de se prendre maladroitement les pieds dans les sacs hors de prix du jeune homme et qui s'était miraculeusement rattrapé à lui, évitant de tomber platement au sol. Elle s'excusa tout de même, mais le jeune homme ne s'y prêta guère. Il lui dit de s'excuser, vraiment mécontent. Cette fois-ci, c'en était trop, et Kuuki décida de réagir. Elle se leva et regarda dans les yeux Kyoran.

« Elle s'est déjà excusée il me semble. »

Pendant un instant elle pensait regretter ce qu'elle venait de dire. Mais la jeune fille ne se laissa pas pour autant marcher sur les pieds, et d'un air mécontent répliqua sèchement au garçon. D'un coup d'œil rapide, Kuuki constata que le trouble pesait dans la pièce et que la secrétaire était bien embarrassée, ne pouvant pas arrêter la dispute qui venait d'éclater. Kuuki serra les dents et ramassa son sac d'une main, sans manquer de se rattraper à la dernière minute avant de tomber, titubant jusqu'au bureau où elle ramassa les papiers que la secrétaire venait de finir d'organiser. Elle répliqua un sec petit "merci" qui ne devait pas s'entendre tellement sa voix était rauque. Se dirigeant vers la porte, elle savait bien qu'elle ne pourrait pas sortir sans se faire interpeller, mais elle tenta quand même de sortir sans recroiser le regard de ces personnes.

C'est à mourir de rire, ils sont mignons dans cette nouvelle génération d'Otaku, à raconter n'importe quoi en s'opposant à moi comme ça. Je rigole, je rigole, mais cela ne m'empeche pas de ressentir quelque chose de noir qui s'encre d'ailleurs sur mon visage souriant. Un sourire machiavélique. Oui ... Mais c'est aussi car c'est vraiment trop drôle ! Moi qui ne peut pas survivre sans me laver vingt fois les mains dans une journée, et qui prends un total de trois douches par jours, comme les repas lol, elle osait m'abaisser à ce niveau.
Ensuite : Je ne sais pas ou elle voyait la pacotille et le petit, ah, je suis distrait parfois. Bien sur elle se dresse un portrait d'elle même, une petite et ... une pacotille. Le Prince c'est simplement qu'elle s'adressait à moi. Toujours en mode ' I'm the prince, so obey my command ', je continuais de la fixer avec ce sourire ironique qui persistait à rester sur mon visage. Lorsque je m'exprimais finalement, bien sur à ce moment la la presence de miss la secretaire avait été completement éffacée donc, je ne tins pas franchement attention à la teneur de mes propos.

- Et bien, Neko-Mimi-chan. On a pas appris les bonnes manières. Une paysanne qui me tutois ...? Je crois que tu ne connais pas bien ta place ici ? Tu es exactement le genre de personne que je veux voir louer mon nom et baiser la pointe de mes pieds ~ Et ne t'inquiete pas que c'est le genre de chose qui arrivera dans un futur proche.

Une invasion d'Otaku ... La petite lapine s'était dirigée devant moi en me laissant ses pseudo paroles en pleine tête. Cette fois ci, elle me tenait tête avec un beau regard d'ailleurs, et moi, comme je suis un Prince, je ne faiblie pas devant un défi. Alors, alors que comptait elle faire ...? Simplement de sauver sa copine ? Elle ne s'est pas vraiment excusée, comme si j'étais le fautif. Ils doivent juste avoir le cerveau retourné ici. Au final, on va dire que j'ai gagner puisqu'elle était en train de prendre la fuite, comme un Lapin l'aurait fait d'ailleurs. Amen mon petit Lapinou...
... Mais si tu crois t'en sortir comme ça. Et bien tu te trompes. Plutôt que de l'interpeller, je la retenais carréments par ses vêtements.

- Hey, miss Lapinou, tu penses pouvoir t'esquiver de ton devoir ..? Okay, Okay, je comprends que vous aillez un peu de mal à me comprendre ici, je vais reprendre ; Je donne mes papiers, tu portes mes valises et enfin, j'arrive dans ma chambre. Claire ...?

Avant de partir, Kyoran s'était bien amusé à rabaisser encore plus la neko. Pourquoi agissait-il ainsi déjà ? Ah oui, c'était un prince. En tout cas on dirait qu'il s'amusait bien à se jouer des autres et à les rabaisser. C'était presque pathétique de se croire supérieur. Et puis si c'était vraiment un prince, que venait-il faire ici ? À l'entendre il n'aimait pas tellement les hybrides. Donc pourquoi venir dans cette école ? Pour s'amuser à les insulter ? Décidément, les humains étaient ignobles. La lapine n'en revenait pas. Voulant déguerpir au plus vite, elle se doutait bien qu'elle se ferait interpeller. À la place, le jeune homme la rattrapa par ses vêtements qu'il tira. Kuuki lâcha un petit "kyuu" avant de lâcher sa valise et de tomber en arrière, sur les fesses.

Dans un premier temps elle ne bougea pas, occupée à refouler les larmes qui montaient parce qu'elle s'était fait mal. Kyoran reprit sur sa lancée, lui disant de prendre ses valises pour aller à sa chambre. Kuuki fronça les sourcils et se releva en tremblant, titubant légèrement puis leva la tête pour observer le garçon. Sachant qu'elle était faible, elle savait que cette bataille était perdue d'avance, mais elle tint dans ses positions.

« ... N... Non... »

Ses yeux emplis de liquide qu'elle tentait de retenir le plus possible, elle savait bien que ça ne servait à rien de résister. Mais se rendre et obéir... Elle s'y refusait catégoriquement. Heureusement, la secrétaire qui avait été effacée jusqu'à présent, revint vers le garçon. Elle fixa Kyoran puis la neko, ensuite la petite lapine puis son regard se posa sur le garçon.

« Que de remue-ménage ! Monsieur Ashford, ne prenez pas les élèves pour des esclaves, ça vous vaudrait des ennuis. Dites moi vous deux, vous êtes nouveaux ?, dit-elle en s'adressant à la neko et au prince, Je ne vous ai jamais vus, je vais préparer les papiers. »

Kuuki se sentit d'un coup un peu mieux de cette intervention. Elle récupéra sa valise et ses papiers qui étaient tombés, mais resta, bizarrement, dans la salle.

Elle était peut-être en retard ? C'était certains... elle avait surement raté les inscription, pauvre d'elle ! Elle s'était mise a courir, elle qui avais de bonnes capacités sportives, même si coté respiratoire c'était pas le top. Essouflée, elle arriva devant la grande porte et y pénétra pour allé ensuite vers l'acceuille ou quelqu'un s'occuperais certainement d'elle. En voyant le monde (certes peu) elle ce demandait ce qu'elle faisait ici, de nature timide, c'était comme si on l'envoyais dans la troisième dimension. Satsuki était littéralement conquise par les oreilles de lapins d'une des filles, et les oreille des chats de l'autre n'étaient pas mal non plus. Et le seul qui faisait tâche sans rien sur la tête ou sur le bas du dos. La fille au oreille de lapin semblait vouloir... pleuré ? Lorsqu'une femme ce mit à parlé elle entendit pratiquement rien puis une fois qu'elle eut fini Satsuki pénétra un peut plus dans la pièce.

- B-Bonjour...

Elle regardait les trois personnes et la secrétaire qui s'était éclipsé pour préparé les papiers comme elle avais dis. D'ailleurs c'était la seule chose que la blonde avait entendut. La jeune fille ne pensa pas directement a ce présenté et préfera regardé les personnes déjà présente au lieu d'ouvrir la bouche pour dire une idiotie. Resté muette était une façon de ce "présentée". Satsuki avait sa valise avec elle, et a cause de sa musculature qui ne ce voyait pratiquement pas, elle ne sentais pas la lourdeur du paquet. En avançant d'un pas incertain, elle entra entièrement dans l'acceuille...

(Bah, me voilà xD jpense que c'est nul comme arrivé pour moi -_-')